La Garde civile récupère plus d’un millier de mobiles volés qui allaient être envoyés au Maroc

La Garde civile, dans la soi-disant opération d’expédition, a récupéré plus d’un millier de téléphones portables qui avaient déjà été volés et étaient prêts à être envoyés à Maroc. L’intervention a été réalisée dans trois entrepôts industriels Les quartiers et aussi dans divers véhicules qui étaient prêts à expédier vers l’Afrique du Nord, à travers les ports de Algésiras Oui Évaluer.

Parmi les appareils qui ont été localisés, il y a des téléphones portables à la pointe de la technologie, d’une grande valeur économique, mais aussi quelque deux mille objets, dont des ordinateurs portables, des motos démontées, des scooters électriques, du matériel photographique, des vêtements et des accessoires. téléviseurs. Tout cela d’une valeur de plusieurs millions d’euros, en effet, il reste encore du matériel qui est en train d’être inventorié.

En ce moment il y a quatre personnes arrêtées et trois autres ont été cités comme faisant l’objet d’une enquête, bien que l’opération reste ouverte et qu’il ne soit pas exclu que, dans les prochaines heures ou jours, de nouvelles arrestations se produisent.

Il convient de noter que l’enquête a débuté en juin lorsque 20 téléphones intelligents et 40 montres intelligentes caché dans une voiture port de Tarifa et qu’il avait l’intention de s’embarquer pour le pays marocain.

De là, les agents ont déterminé que les appareils auraient pu être volés lors des différentes foires qui se sont tenues ces dernières semaines dans diverses municipalités du Champ de Gibraltar.

La Benemrita a localisé un premier entrepôt industriel dans la zone industrielle de Los Barrios dans lequel elle a arrêté deux personnes qui effectuaient des travaux de garde sur le matériel. Ils y ont localisé des centaines d’objets emballés et palettisés. La marchandise provient de différents endroits espagnols et étrangers. Parmi eux, il convient de noter qu’il y avait 759 terminaux mobiles, 180 ordinateurs portablesdes appareils électroniques ou du matériel pyrotechnique qui ont produit un poids de 107 kilos.

L’Institut armé continue également de travailler en coopération avec la police de Belgique et des Pays-Bas, d’où l’on soupçonne qu’une grande partie des marchandises saisies provenaient.