Troupeaux et sauts : noms collectifs
Ici en Afrique, on aime raconter des histoires – autour d’un feu de camp, des histoires de chevet, des contes de vieille femme et des fables transmises de génération en génération. Nous sommes également fans de certains des noms collectifs sauvages donnés aux animaux bien-aimés qui habitent l’Afrique.
Dans cet esprit, nous avons inventé une petite histoire en utilisant certains de nos favoris.
Un conte africain
Le roi, et son troupe de lions assis tranquillement sous un ancien et énorme arbre Umbrella Thorn. C’était la fin de l’après-midi, et ils étaient paresseux, le chaud soleil d’été étant encore haut dans le ciel. UN bouilloire de vautours entouré de bleu vif. Quelque chose a dû mourir.
Dans les branches de l’arbre au-dessus, un saut de léopard s’attardèrent paresseusement, regardant leurs grands cousins faire la sieste en dessous.
A travers les paupières tombantes, la troupe et le bond remarquèrent un obstination du buffle se mêlant à un zèle de zèbre, à travers la plaine de savane. Le roi donna un petit coup de queue et pensa : « déjeuner », mais il avait bien trop sommeil pour faire plus que le petit coup de queue.
Au bord de la rivière, un panier de crocodiles paresseux aussi, jusqu’à ce que le soleil africain devienne trop chaud sur leur dos et qu’ils se laissent tomber, un par un, dans l’eau fraîche, seuls leurs yeux apparaissant au-dessus.
Un peu plus en aval, un mémoire d’éléphant regardaient leurs jeunes éclabousser et éclabousser, les malles de bébé encore encombrantes. À mi-chemin, plus d’yeux – un ballonnement d’hippopotameflottant et grognant, leur sieste de l’après-midi perturbée par l’exubérance juvénile des bébés éléphants.
Dans les bas-fonds, un flamboyance des flamants roses narcissiques flattés les uns les autres, lissant et caracolant, inconscients de tout sauf de leurs reflets roses particulièrement jolis. Cependant, ils ont gonflé les plumes de leur queue, comme un tour de girafe avança maladroitement vers eux. Ces longues jambes ? Pas de compétition pour un flamant rose. Et si disgracieux qu’ils se penchaient pour boire ! Les flamants roses ont ricané et les girafes ont ignoré.
Alors que le soleil se couchait sur la brousse africaine et que le crépuscule se transformait en nuit, un parlement des hiboux descendirent silencieusement de leurs perchoirs, à la recherche d’un malice des souris, nid de serpents, lit de scorpions et salon des lézards… Dîner! UN foule de suricates leva les yeux rapidement et se précipita vers un abri.
UN galaxie d’étoiles et une lune faucille veillait sur le buisson comme un crash de rhinocéros se déplaçait lentement à travers les plaines au son d’un caquetage d’hyène, riant. UN meurtre de corbeaux s’agitèrent avec inquiétude de leur lieu de repos nocturne dans un calme des baobabs.
La enveloppe de lapins fluviaux frissonna d’entendre des choses telles que le lion et sa troupe rugirent, noyant le orchestre de grillons.
C’est juste une autre nuit en Afrique.